Comment l'État Français asservit ses citoyens en
les vendant aux banques.
Les paiement en cash sont progressivement rendus illégaux pour vous forcer à passer par les banques. © Dollar Photo Club - Reproduction interdite |
Un pas de plus
vers la suprématie dominatrice totale des banques sur notre quotidien vient d’être
franchi en France, avec la quasi-abolition du paiement des impôts en liquide,
qui vient d’être passé sous forme légale.
En passant ce genre
de loi, c’est l’ultime atteinte aux libertés de tout citoyens qui est prononcée
au profit des banques.
Votre État vous a vendu aux banques.
Ce que dit le
texte : tout paiement en liquide des impôts au-delà de 300 euros sera illégal
à partir de Septembre. Mais qui de nos jours a encore une dette fiscale de moins
de 300 euros ? Personne. Autrement dit, cette loi s’applique de facto à
chaque citoyen et rend le payement de vos impôts en liquide illégal.
En rendant illégal le paiement de vos impôts, l’État
vous force à prendre un compte en banque.
C’est une
technique bien connue et souvent utilisée dans l’histoire : si on veut
forcer les gens à utiliser un mode de paiement, on le rend obligatoire pour
payer les impôts.
Cette fois-ci, ce
ne sont pas des bâtons de comptage ou des assignats, ce sont des moyens de paiement
de banques.
Comme il est pas
politiquement correct de promulguer une loi qui forcerait chaque individu à
détenir un compte bancaire, on va rendre le paiement des impôts uniquement
accessible aux détenteurs de comptes bancaires. Et voilà comment votre bien
aimé gouvernement a vendu tout un peuple aux banques.
Cela va-t-il sauver les banques ?
On peut sans
doute voir là une ultime tentative pathétique supplémentaire de sauver les
banques en leur assurant le contrôle de chaque centime de revenu imposable qui
sera gagné dans le pays, leur donnant de fait le contrôle total et universel de
chaque flux économique.
Mais seulement
pour vous, citoyen, la messe est dite. Vous êtes condamnés. Votre âme a été vendue aux banques sous votre nez.
En abolissant l’étalon-or
(c’était le 5 Août 1914, la fin du Franc Germinal), les gens n’étaient plus
propriétaires des billets de papier qui leur était remis contre leur
contribution à l’économie nationale, car officiellement un billet de papier
reste la propriété de la banque centrale. Ainsi ils avaient été sournoisement dépossédés
du fruit de leur travail qu’ils ne pouvaient plus épargner tranquillement à
cause de la dévaluation monétaire (l’inflation).
100 ans après
quasiment jour pour jour, c’est maintenant
au tour des banques de s’approprier le fruit de votre labeur/votre argent. En abolissant
l’usage des billets, c’est la généralisation de la monnaie électronique qui
vous est imposée. La monnaie électronique n’est plus créée par les banques
centrales mais par les banques elles-mêmes qui vont servir de vecteur pour les
transactions économiques du pays.
Voici venu le temps des assignats électroniques.
Le danger, c’est
que en s’affranchissant de la contrainte mécanique de l’impression physique des
billets, c’est la porte ouverte à la création monétaire infinie.
L’épisode honteux
des assignats ressemblera à une période festive comparé à ce qui nous attend.
Non seulement la monnaie électronique ne laisse aucune trace, mais en plus elle
est multipliable à l’infini.
Avec les
assignats, au moins il nous restait des petits bouts de papier qui sont encore
fort prisés par les collectionneurs de nos jours. Mais cent mille milliards de
monnaie électronique, on encadre cela comment ?
À chaque jour que
le Tout-Puissant me donne de vivre, je vois de plus en plus de tentatives
désespérées de sauver le système en place, non pas en le faisant évoluer
progressivement mais en le maintenant en place à tout prix, et ce au coût exorbitant
de l’annihilation de nos libertés personnelles.
Lorsque les gens vont se réveiller, il sera trop
tard.
Pour rappel :
depuis la crise provoquée par les banques en 2007/2008, rien n’a changé au
niveau de ces dernières. Hormis quelques vagues déclarations d’intention,
aucune banque n’a été réformée, encore moins le secteur bancaire.
Maintenant qu’on
est forcé de tout passer par une banque, laquelle choisir ?
Mon conseil :
votre banque à vous.
L’État veut que
vous mettiez tous vos œufs dans le même panier (de crabes) bancaire. C’est le B
A-ba de l’investissement : surtout ne mettez pas tous vos œufs dans le
même panier !
Je ne répéterais
donc jamais assez le conseil de base minimum : mettez entre 5% et 10% de
vos avoirs en or, et priez pour que cela ne serve à rien.
Bon week-end et à
ceux qui se préparent pour la rentrée : Bonne Rentrée Bancaire !
Payez par chèque ! ne mentionnez pas la somme en chiffres, uniquement en toutes lettres, raturez les chiffres codés en bas du chèque, tout ceci pour rendre ineffective la lecture automatique. ... De même, ne télédéclarez pas, envoyez la bonne vielle feuille de déclaration papier, noircissez tous les codes à barres, faites ch|er ces feignants de banksters et empafés de fonctionnaires du fisc !
RépondreSupprimerPourquoi 5 à 10% en or ? C'est peu !Pourquoi pas 90% ?
RépondreSupprimerA moins d'être à veille de l'effondrement total, ce serait suicidaire. Tant que "ils" auront le contrôle de la planche à billets, "ils" pourront manipuler le prix de l'or, et le faire baisser de 400$ en 1 jour, comme cela est arrivé en 2013. Le maître mot de la sagesse économique est Diversification.
SupprimerDéjà si tout le monde se contentait de retirer ne fût-ce que 5% de son épargne pour le placer en or, les banques tomberaient comme des mouches car elles ne pourraient jamais assurer l'ensemble de ces retraits.
Bonsoir !
RépondreSupprimerImaginez une personne propriétaire d'un bien immobilier à 200 000 euros et ayant 20 000 euros d'épargne...
5 à 10 % de son patrimoine total c'est entre 10000 et 20 000 euros ! Donc tout ce qu'il a en or !
Bonsoir.
SupprimerDans votre exemple, cette personne a déjà 90% de son patrimoine dans un même type de placement: l'immobilier, ce qui n'est pas très diversifié à la base. Qu'il se contente de placer 5% à 10% de ses liquidités en or, soit 1.000 à 2.000 euros serait amplement suffisant. En attendant, sa maison risque d'être lourdement taxée. Le patrimoine immobilier est source inépuisable de recettes fiscales.
J'entendais résidence principale... Vaut-il mieux être locataire et ne plus être propriétaire (non endetté) de sa résidence principale ?
SupprimerC'est pas nouveau. Tous les salaires déjà sont interdits d'être payés en espèces ...
RépondreSupprimerMaintenant les non-salariés vont être au même régime. D'abord on limite les retraits en liquide, maintenant on limite les paiements en liquide. Toute les transactions économiques vont passer par les banques, qui ont réussi à se greffer telles des sangsues. Quelle sera la valeur ajoutée des banques dans l'économie ?
SupprimerBonjour.
SupprimerFaux, tout salarié peu, en vertu de l'article L 112-6 du code monétaire et financier modifié par la loi n°2011-900 du 29 juillet 2011- art. 51 (V) et aux décrets n°85-1073 du 7 octobre 1985 et n°2001-96 du 2 février 2001 à partir du mois de janvier 2012 inclus.
La seule limite, ne pas gagner plus de 1500 euros nets par mois... Au delà, le salarié doit être payé par virement ou par chèque.
Si la loi le permet, de nombreuses entreprises ne le font plus par esprit pratique. La plupart du temps, si les virements sont facturés aux entreprises, ceux des salaires sont souvent fait gratuitement ou à prix réduits. Par-dessus, la banque se prend la liberté de payer les employés non-clients de la même banque 3 jours plus tard que les autres, sans raison alors que la technologie actuelle permet un transfert quasi instantané. Cette pratique irritable leur permet de gagner des clients (les salariés qui veulent être payés plus tôt) tout en jouant avec l'argent en transit sur le marché interbancaire.
SupprimerSachez que si les entreprises ont le droit de payer les salaires sous 1500 euros (qui gagne encore ça de nos jours?), les banques qui n'ont pas limité les retraits les facturent très cher. Aller à la banque chercher les liquidités nécessaires pour les payes prend du temps, coûte cher et est plus risqué qu'une bande de virement transmise électroniquement par le service Paye à la banque.
A moins que l'entreprise ait de grandes opérations en argent liquide, auquel cas ils auraient le cash nécessaire pour payer les employés, quand bien même nombre d'entre eux payent leur employés par chèque ou virement. Donc quelques exemples viendraient fort à propos dans ce contexte, merci.
videz vos comptes au fur et à mesure
RépondreSupprimerretirez un max de vos comptes , ne laissez que le minimum
arrêtez de consommer du superflu,
l'or , c'est subsidiaire mais faut pas l'acheter en France